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Au Cinéma Cette Semaine : ‘Les Aigles de la République’, ‘Predator’, ‘L’Inconnu de la Grande Arche’ et Autres Incontournables
Sorties majeures au cinéma : Les Aigles de la République, Predator et L’Inconnu de la Grande Arche à l’affiche
Cette semaine rassemble des propositions fortes et contrastées, des coulisses du pouvoir égyptien aux déserts SF, en passant par un chantier monumental de La Défense. Impossible de rester à l’écart tant l’éventail est riche, avec des sorties très attendues comme Les Aigles de la République de Tarek Saleh, le nouveau Predator : Badlands, et l’ambitieux L’Inconnu de la Grande Arche de Stéphane Demoustier. Les grands circuits comme Pathé, UGC, Gaumont, MK2 et même Cinépolis (pour les voyageurs) capitalisent sur ces sorties qui conjuguent divertissement, réflexion et savoir-faire technique.
Le fil rouge de la semaine ? Une obsession pour les systèmes de pouvoir et la manière dont l’individu y négocie sa liberté. Tarek Saleh referme sa trilogie amorcée par Le Caire Confidentiel et poursuivie avec La Conspiration du Caire avec une audace grinçante. En face, Dan Trachtenberg déplace la franchise Predator en terres émotionnelles inexplorées, sans renier la grammaire viscérale de la saga. Et Stéphane Demoustier se glisse dans le sillage d’une architecture politique pour y injecter tension dramatique et verve comique, là où on ne l’attend pas.
Pour préparer la séance, les spectateurs consultent souvent Allociné et l’offre de rattrapage de Ciné+, mais un tour d’horizon éditorial et contextualisé aide à faire le tri. Les spectateurs Nora et Malik, fidèles des séances du mercredi soir, ont par exemple planifié un doublé “thriller politique + grand spectacle”, ce qui permet de mesurer, en un soir, l’écart de tonalité et de mise en scène entre des récits d’enfermement et des récits d’ampleur.
Les salles renforcent leur programmation, conscientes que ces titres fédérateurs peuvent relancer une dynamique post-fêtes. Dans ce cadre, l’éclairage économique et culturel compte autant que la critique. À ce titre, une lecture des enjeux de financement du CNC éclaire la trajectoire de ces œuvres, tout comme ce panorama des nouveautés 2025 qui situe ces sorties dans une saison plus vaste.
- 🎬 Sortie phare de la semaine : Les Aigles de la République (thriller politique + satire)
- 🛡️ Grand spectacle : Predator : Badlands (épopée SF émotionnelle)
- 🏗️ Ambition historique : L’Inconnu de la Grande Arche (architecture et pouvoir)
- 📽️ Où voir ces films : circuits Pathé, UGC, Gaumont, MK2, et à l’international Cinépolis 🌍
- 🧭 Pour organiser sa semaine : parcours critique et comparatif ci-dessous
| 🎟️ Titre | 🌟 Atout majeur | ⏱️ Durée estimée | 🍿 Pour qui ? |
|---|---|---|---|
| Les Aigles de la République | Satire + thriller, portrait de l’Égypte contemporaine | ~2h | Amateurs de politique, cinéphiles exigeants |
| Predator : Badlands | Action viscérale, twist émotionnel | ~1h50 | Fans de SF, adeptes d’adrénaline 💥 |
| L’Inconnu de la Grande Arche | Chantier monumental, humour discret | ~2h05 | Passionnés d’architecture et d’histoire 🇫🇷 |
Première étape d’un tour d’horizon qui distingue l’artistique, le technique et l’expérience de salle, afin d’orienter la sortie idéale.
Les Aigles de la République : satire mordante et descente dans l’ombre du pouvoir
Le film de Tarek Saleh referme une trilogie entamée en 2017, indépendante dans ses récits mais cohérente dans ses thèmes. Après les succès critiques et publics du Caire Confidentiel et de La Conspiration du Caire, l’auteur revient avec Les Aigles de la République, porté par l’incontournable Fares Fares. Le comédien y incarne George Fahmy, star adulée et narcissique surnommée “le Pharaon de l’écran”, contrainte d’interpréter un président autoritaire dans un biopic à sa gloire. L’entrée, presque légère, rappelle la comédie italienne, puis le récit glisse vers le thriller quand l’acteur découvre l’envers meurtrier du pouvoir.
Saleh orchestre une bascule de ton qui s’appuie sur un casting adroit : Lyna Khoudri prête son intensité à une compagne trop jeune pour ce “vieux beau”, tandis que Zineb Triki joue la maîtresse, déjà prise dans les filets d’un ministre. Ce n’est pas l’histoire d’un héros, mais celle d’un homme qui négocie sa conscience. En sous-main, l’Égypte contemporaine devient un laboratoire des contradictions : communication triomphante, machine politique huilée, et clandestinité où l’on efface, au sens propre, ce qui dérange.
Côté mise en scène, la fluidité du découpage fait résonner l’élégance de surfaces lisses avec l’aridité des décisions prises en coulisses. La musique s’efface souvent au profit d’un mixage feutré, comme si les murs avalaient les paroles. Les spectateurs habitués des sorties d’auteur chez MK2 y retrouveront l’art de la suggestion, quand ceux des multiplexes Pathé ou UGC goûteront à une dramaturgie “grand public” sans condescendance.
Pour situer le film dans la programmation nationale et comprendre sa trajectoire, l’article sur le soutien au cinéma en France rappelle l’importance des fenêtres de diffusion, tandis que ce aperçu des tournages à Paris montre comment la capitale attire de plus en plus d’œuvres politiques. Deux ressources à consulter pour prolonger la séance.
- 🧠 Pourquoi c’est marquant : mariage entre satire et suspense qui tient le public en haleine
- 🎭 Interprétations : Fares Fares magnétique, Lyna Khoudri en contrepoint poignant
- 🔎 Thèmes : fabrication de l’image, compromission, mémoire effacée
- 🎟️ Conseils séance : privilégier une salle à bon traitement sonore pour apprécier les silences
- 📚 Pour aller plus loin : incontournables de l’année pour contextualiser la sortie
| 🎬 Élément | 💡 Détail | 🎯 Impact spectateur |
|---|---|---|
| Bascule comédie ➝ thriller | Ton léger qui se durcit progressivement | Effet de piège dramatique 😮 |
| Star sous pression | Un biopic à la gloire du dirigeant | Question éthique immédiate |
| Couloirs du pouvoir | Image lisse, coulisses brutales | Suspense moral et politique |
Le film s’impose comme une synthèse du savoir-faire de Saleh : cinglant, élégant, et nécessaire.

L’Inconnu de la Grande Arche : quand l’architecture devient un roman national
L’Inconnu de la Grande Arche s’inspire de l’épisode réel qui a vu un architecte danois, Johan Otto von Spreckelsen, être choisi, à la surprise générale, pour ériger l’Arche de la Défense, l’un des grands projets impulsés au début du premier mandat de François Mitterrand. Stéphane Demoustier en tire une saga de chantier, de réunions tendues et d’ego froissés, que la mise en scène teinte d’une ironie discrète. L’œuvre navigue entre récit institutionnel et chroniques humaines, portée par Claes Bang (l’architecte), et la présence de Xavier Dolan, Swann Arlaud et Sidse Babett Knudsen qui insufflent un contre-chant vivant.
Le dispositif formel intègre la géométrie des lieux : cadres frontaux, diagonales nerveuses, et échappées qui répondent à l’idéal d’un cube ouvert. Le son capte le frottement des matériaux, le sifflement du vent sur les hauteurs et la rumeur de Paris ; autant d’éléments qui prolongent la texture du récit. Certaines scènes flirtent avec la comédie, façon “guerre des chefs”, rappelant que l’architecture est autant affaire de calculs que d’alliances précaires.
Le film arrive à point nommé dans une année où la capitale sature de tournages et d’événements publics. Les lecteurs curieux pourront mesurer l’ampleur de ce mouvement dans cet article sur les tournages à Paris en 2025. La comparaison avec des récits voisins, comme The Brutalist, permet de cerner ce qui distingue Demoustier : une approche claire, presque pédagogique, qui évite le jargon sans sacrifier la précision.
- 🏗️ Ce qui fascine : l’affrontement entre vision artistique et réalités politiques
- 🧩 Casting choral : Claes Bang en axe, Sidse Babett Knudsen en boussole
- 📐 Mise en cadre : architecture filmée comme un personnage
- 🗺️ Pour parfaire sa culture : films-labyrinthes et récits d’espaces complexes
- 📸 Bonus technique : conseils optiques sur les meilleurs objectifs Tamron pour capturer lignes et textures
| 🏛️ Aspect | 🔧 Traitement filmique | 🎯 Effet narratif |
|---|---|---|
| Choix de l’architecte | Personnage “inconnu” propulsé au centre | Mythologie de l’outsider 🌟 |
| Conflits de chantier | Bras de fer avec maîtrise d’ouvrage | Tension, humour, pédagogie |
| La Défense comme décor | Cadres frontaux et diagonales | Monumentalité sensible |
Résultat : une fresque limpide et nerveuse, qui fait de l’architecture un terrain dramatique captivant.
Predator : Badlands déplace la saga vers l’émotion sans renier le frisson
Le septième volet de la franchise inaugure une inflexion inattendue. Predator : Badlands, réalisé par Dan Trachtenberg, suit Dek, un chasseur issu du peuple reptilien à dreadlocks et canines proéminentes. Missionné par un père impitoyable, il doit ramener la tête d’un monstre invincible pour prouver sa valeur. La rencontre avec Thia, androïde amputée des deux jambes, déclenche une alliance bancale : pragmatisme contre fierté, stratégie contre pulsion. Ce duo, épaulé ou contrarié par la sœur cyborg de Thia, ajoute une couche sentimentale rare dans l’ADN de la saga.
Le film conserve les codes qui ont fait la légende : textures de peau, cliquetis gutturaux, furtivité calibrée, et “climax” de survie. Mais Trachtenberg soigne les respirations et les doutes, offrant une dramaturgie qui s’autorise l’empathie. En 2025, ce repositionnement paraît pertinent : le public réclame des récits de genre qui assument la complexité émotionnelle, sans abandonner la rudesse de l’action. La performance d’Elle Fanning, double rôle à la clef, réussit un pont entre “indé” sensible et blockbuster.
Conseil pratique pour choix de séance : privilégier une salle à écran large et sonorisation immersive — UGC et Pathé proposent souvent des auditoriums Atmos, tandis que Gaumont et MK2 optimisent la précision des médiums, cruciale pour les bruitages organiques. Pour compléter l’expérience, ce guide des animes de combat peut inspirer un programme “corps à corps” sur le week-end, aux côtés d’un blockbuster de survie comme évoqué dans ce focus Hunger Games.
- 🧬 Nouveauté majeure : un Predator émotif, sans trahir la sauvagerie de la chasse
- 🤝 Duo marquant : Dek & Thia, alliance technique et morale
- ⚙️ Design sonore : cliquetis, respirations, impacts — à savourer en grande salle
- 🎮 Pour prolonger : inspirations “arena” et tactiques, à croiser avec le décodage d’un film nerveux
- 🧭 Où réserver : vérifier Allociné pour les horaires et formats
| 🗓️ Épisode | 🧩 Signature | 🔥 Spécificité Badlands |
|---|---|---|
| Predator (1987) | Survie, jungle, militarisé | Référence fondatrice 🎯 |
| Itérations 2–6 | Variations urbaines, crossovers | Élargissement du bestiaire |
| Badlands (2025) | Alliance avec une androïde | Émotion + stratégie nouvelle 🧠 |
La saga gagne en densité, et prouve qu’un mythe peut évoluer sans se diluer.

Regards croisés : Les Braises et L’Incroyable Femme des Neiges, entre intime social et odyssée décalée
Deux propositions françaises s’imposent à l’écran par des voies très différentes. Les Braises de Thomas Kruithof suit Jimmy et Karine, couple d’Angoulême qui se bat pour garder sa maison et son entreprise à flot quand surgit la contestation des ronds-points. Karine trouve dans le collectif une respiration, tandis que Jimmy s’épuise dans une lutte individuelle. Avec Virginie Efira et Arieh Worthalter, le film opte pour un regard intime qui n’escamote ni les contradictions ni la tendresse, à quelques encablures d’autres œuvres interrogeant la relation entre citoyens et maintien de l’ordre.
À l’autre bout du spectre, L’Incroyable Femme des Neiges de Sébastien Betbeder embarque Coline, exploratrice borderline interprétée par Blanche Gardin, vers un retour au Jura qui vire à la fugue polaire. Yéti fantasmé, famille cabossée (avec Philippe Katerine et Bastien Bouillon), et humour qui mord à froid : l’absurde devient matière à roman familial, puis s’ouvre au Groenland. Ce double mouvement — revenir pour mieux repartir — donne au film une respiration singulière, entre burlesque et mélancolie.
Ces deux récits posent une même question : comment tenir debout au milieu des tempêtes, sociales ou intérieures ? Les spectateurs qui aiment suivre des trajectoires humaines denses pourront creuser des résonances avec des œuvres étrangères dans ce sélectif des dramas coréens, où l’intime rencontre souvent la grande Histoire. Parallèlement, les salles régionales s’avèrent décisives pour rayonner ces films ; ce focus sur un complexe du Maine-et-Loire illustre la manière dont des initiatives locales nourrissent une cinéphilie vivante.
- 🔥 Les Braises : politique par l’intime, avec une direction d’acteurs subtile
- ❄️ L’Incroyable Femme des Neiges : dérapage poétique qui ose l’improbable
- 🏘️ Importance des salles locales : maillage qui porte le cinéma d’auteur
- 🧭 Idée programme : enchaîner ces deux films pour un diptyque “résilience”
- 📅 À surveiller : autres rendez-vous dans ce guide des événements ciné en soirée
| 🎥 Film | 🧵 Fil conducteur | 💫 Tonalité | 🧭 Expérience en salle |
|---|---|---|---|
| Les Braises | Couple au bord de la rupture | Réalisme tendre et tranchant | Proximité émotionnelle 🤝 |
| L’Incroyable Femme des Neiges | Exploratrice en fuite | Fable absurde, poignante | Dépaysement sensoriel 🌬️ |
Deux chemins, une même ambition : donner au présent des formes qui bousculent sans asséner.
Où voir ces films et comment optimiser sa séance chez Pathé, UGC, Gaumont, MK2 et au-delà
Les multiplexes Pathé, UGC et Gaumont concentrent les séances premium (grands écrans, Atmos, sièges inclinables), quand MK2 ou certains indépendants misent sur une médiation pointue (rencontres, cycles). Pour les voyageurs, Cinépolis demeure une référence internationale, utile pour caler une séance à l’étranger. Avant de réserver, un détour par Allociné permet de comparer horaires et versions, et Ciné+ prend le relais pour le rattrapage légal lorsque les films passent en seconde fenêtre.
Les spectateurs à la recherche d’un parcours hebdomadaire peuvent mixer grand spectacle et découverte. Par exemple : une séance de Les Aigles de la République en début de semaine, Predator : Badlands en fin de semaine, et L’Inconnu de la Grande Arche le week-end, accompagné d’une promenade à La Défense. Ce type de “trilogie personnelle” renforce la lecture thématique de la programmation, tout en variant les plaisirs.
Pour celles et ceux qui souhaitent anticiper les tendances et préparer leurs sorties, les articles “saison” sont précieux : voir le guide des incontournables de 2025, dénicher des idées dans le top séries coréennes pour nourrir un week-end mixte séries/films, ou suivre la vie du secteur via ces enjeux du CNC. Côté coulisses, un regard sur les castings et opportunités rappelle la porosité entre pub et fiction.
- 🗓️ Astuce planning : alterner “grand son” (Predator) et “silences éloquents” (Les Aigles de la République)
- 🎟️ Cartes illimitées : rentables dès 2–3 séances/mois
- 🧭 Accessibilité : version VF/ST selon besoin, à vérifier sur Allociné
- 📽️ Rattrapage : surveiller Ciné+ pour certaines exclusivités
- 🌆 Idée sortie : coupler L’Inconnu de la Grande Arche avec une visite du quartier de La Défense
| 🏢 Réseau | 💺 Atout | 🎧 Formats | 🗺️ Conseil |
|---|---|---|---|
| Pathé | Écrans XL et confort | IMAX, Atmos 🔊 | Idéal pour Predator |
| UGC | Cartes illimitées | Atmos, VOST | Programme varié |
| Gaumont | Qualité projection | 4K, HDR en demo | Choix écrans moyens |
| MK2 | Médiation et cycles | VOST riche 📚 | Idéal pour d’auteur |
| Cinépolis | Réseau international | Premium variés | Voyages 🌍 |
La bonne séance, c’est le bon film au bon format, dans la bonne salle : un trio gagnant facile à planifier.
Conseils de choix, comparaisons rapides et pistes pour prolonger l’expérience
Face à une offre dense, hiérarchiser aide à garder le cap. La méthode la plus simple consiste à trier par humeur et par intensité sensorielle. Envie de satire intelligente et de tension feutrée ? Les Aigles de la République s’impose. Besoin d’exutoire ? Predator : Badlands fournit la dose d’adrénaline avec un supplément d’âme. Désir d’apprendre sans renoncer au spectacle ? L’Inconnu de la Grande Arche conjugue pédagogie et panache. Les amateurs de vibrations sensibles privilégieront Les Braises et L’Incroyable Femme des Neiges, deux regards singuliers sur la résilience.
Pour élargir son spectre cinéphile, certains guides transversaux sont utiles : l’exploration des films en huis clos et points de vue enrichit la lecture des thrillers politiques, tandis qu’une plongée dans les narrations labyrinthiques éclaire la dramaturgie des chantiers, tant réels que symboliques. La curiosité gagne toujours à être nourrie par des contrepoints, y compris au-delà du cinéma : séries, documentaires, et même spectacles live.
Un mot, enfin, sur l’écosystème : la vitalité des salles reste liée aux politiques publiques et à l’implication des exploitants. La synthèse sur les mécaniques du CNC permet de mieux comprendre pourquoi certaines sorties bénéficient d’un plan d’exposition élargi. Et pour qui veut décloisonner, des idées “hors écran” comme cette sélection d’événements ciné en soirée créent un continuum culturel réjouissant.
- 🧭 Choisir par humeur : satire, action, savoir, émotion
- 🧪 Tester un mix : 1 film “salle premium” + 1 film “rencontre”
- 🔁 Prolonger : rattrapage Ciné+, lectures et podcasts
- 📚 Curiosité : dériver vers le regard sur la comédie américaine pour l’écart de ton
- 🎯 Cible perso : adapter la séance à la sensibilité sonore et visuelle
| 🎯 Envie | 🎬 Film recommandé | 🧠 Bénéfice | ✨ Alternative |
|---|---|---|---|
| Satire politique | Les Aigles de la République | Réflexion + tension | Documentaires d’enquête 🔍 |
| Action immersive | Predator : Badlands | Adrénaline + empathie | Blockbusters de survie 💥 |
| Histoire/architecture | L’Inconnu de la Grande Arche | Culture + plaisir visuel | Chroniques urbaines 🏙️ |
Objectif final : transformer la sortie cinéma en expérience pensée, réjouissante et mémorable.
Quel film privilégier pour une première sortie cette semaine ?
Pour une expérience à la fois accessible et exigeante, Les Aigles de la République offre un mélange de satire et de suspense qui parle autant aux néophytes qu’aux cinéphiles.
Dans quelle salle voir Predator : Badlands pour un son optimal ?
Privilégier un auditorium Atmos chez Pathé, UGC ou Gaumont. Les impacts et bruitages organiques sont pensés pour une diffusion dynamique.
L’Inconnu de la Grande Arche convient-il à un public non spécialiste ?
Oui. Le film de Stéphane Demoustier adopte un ton clair et souvent drôle, sans jargon, tout en restituant les enjeux politiques et artistiques du chantier.
Où trouver rapidement les horaires et versions ?
Allociné centralise les séances et formats. Pour le rattrapage légal après l’exploitation salle, certaines œuvres passent ensuite sur Ciné+.
Un parcours de séances sur deux jours, c’est possible ?
Bien sûr : jour 1, Les Aigles de la République en début de soirée, puis jour 2, Predator : Badlands en salle premium ; week-end, L’Inconnu de la Grande Arche couplé à une visite de La Défense.
Léna scrute les tendances des plateformes et repère les phénomènes séries avant tout le monde. Son ton vif et accessible lui permet de transmettre son enthousiasme sans jamais sacrifier la précision. Elle aime dénicher les talents émergents du petit écran.
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Fares Fares
17 novembre 2025 at 17h39
Vraiment hâte de découvrir Les Aigles de la République !
Zephyrion Lombris
17 novembre 2025 at 17h39
Les sorties de la semaine semblent captivantes, surtout Les Aigles de la République!
Zéphyrin Quenouille
17 novembre 2025 at 20h45
Des films captivants qui promettent de belles émotions au cinéma cette semaine.
Zephyr Arcantos
17 novembre 2025 at 20h45
Les Aigles de la République est captivant, une exploration fascinante du pouvoir.
Zephyra Lunel
17 novembre 2025 at 20h45
Films intrigants à découvrir, diversité vraiment captivante. À voir!
Zéphyr Rigoulac
18 novembre 2025 at 0h04
J’ai adoré Les Aigles de la République, captivant du début à la fin!
Zephyr Lorestan
18 novembre 2025 at 0h04
Film captivant, inspiration intense et acteurs brillants. À voir !
Zephyra Quillstone
18 novembre 2025 at 10h07
Les Aigles de la République est juste incroyable, j’ai adoré !